Respectueux des démarches globales de préservations de l’environnement, nous sommes attentifs à la gestion des énergies. Notre collectivité est lauréate de AGIR de par nos actions d’optimisation de nos consommations, d’isolation de nos bâtiments, actions qui se poursuivent.

Si vous voulez des renseignements sur le développement durable, la transition énergétique, et les réglementations thermiques pour les constructions (RT2012), vous pouvez consulter les sites :

http://www.developpement-durable.gouv.fr/

http://www.ademe.fr/

Par ailleurs, nous nous sommes engagés depuis plusieurs années dans une gestion différenciée de nos espaces verts, limitant ainsi d’une part notre consommation d’eau d’arrosage et réduisant d’autre part considérablement l’emploi de pesticides et herbicides, dans le cadre de l’objectif « zéro phyto » que notre commune a largement anticipé.
Force est de constater, aujourd’hui, que le recours systématique à l’utilisation de produits phytosanitaires engendre de nombreux problèmes et dysfonctionnements (risques importants de pollution, notamment de la ressource en eau, perte de biodiversité…). La gestion des espaces verts, s’inspirant des méthodes employées en agriculture, en est une riche consommatrice. Pour pallier ces risques, de nouvelles méthodes plus respectueuses de l’environnement ont été conçues ; la gestion différenciée est une des réponses proposées.

La gestion dite « différenciée » correspond à un compromis entre une gestion naturelle écologique et une gestion horticole, à priori opposées.

Ainsi comme vous avez pu le constater, l’aspect de certains de nos espaces verts a changé, des priorités ont été établies afin d’adapter au mieux nos usages au lieu dans le respect des conditions locales.

Quelques exemples de moyens écologiques à mettre en œuvre : (pour limiter l’apport d’intrants, pour une gestion économe de la ressource en eau…) :

  • Pratiquer un désherbage écologique (emploi de matériel plus respectueux de l’environnement : désherbage manuel ou thermique).
  • Diminuer les fréquences d’entretien, pratiquer des fauches différenciées.
  • Faire le choix de l’utilisation des plantes vivaces dans les massifs (permet de limiter les coûts de plantation et d’entretien).
  • Recourir aux paillages organiques (paillette de lin, broyat d’élagage…).
  • Utiliser des plantes couvre-sol au pied des arbres.
  • Diminuer l’usage des produits phytosanitaires.
  • Utiliser les techniques de lutte biologique (utilisation des insectes auxiliaires comme les coccinelles, les chrysopes…).
  • Restreindre l’arrosage aux espaces de prestige, mettre en place des systèmes d’arrosage automatique, utiliser des espèces moins consommatrices d’eau.
  • Favoriser la récupération et l’emploi des eaux pluviales.
  • Tolérer la présence d’une certaine flore sauvage, voire l’utiliser dans la création de nouveaux espaces.